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Pilote sur DS/ID - GS


La photo vous intéresse, contactez Citroën en compétition.

Genestier Gérard

Principaux résultats

Pas de traces de résultats pour Gérard et pourtant de 1977 à 1984, entre DS et GS, on note sa présence dans les listes des engagés.
Il est vrai que les épreuves de TT sont redoutables pour les berlines et que les abandons y sont monnaie courante.
Infernal, Boue et champagne, Jean de la Fontaine, Plaines et vallées, ces épreuves de renom furent le terrain de jeu de Gérard.

Présentation

Gérard définit les origines de sa vocation par le mot Atavisme.
Le petit Larousse définit le mot atavisme par :” réapparition chez un descendant d’un caractère des ascendants” ou en usage courant “ensemble des caractères héréditaires”. Cela nécessite sûrement quelques explications.

Le garage familial affichait les couleurs du double chevron chères à la marque Citroën et voilà comment Gérard s’est retrouvé au volant d’une DS. La voiture rachetée à Daniel Jullien est un modèle d’origine du service compétition (ex groupe 1). Gérard va courir deux saisons à son volant (1977 - 1978).

En 1979, Gérard change de monture. Toujours influencé par le milieu familial , son choix va s’orienter naturellement vers un autre véhicule de la marque, la GS.

Ce portrait aurait aussi pu s’intituler, “Gérard Genestier ou le syndrome du dimanche midi”.
Pour aussi bizarre que cela puisse paraître, Gérard , a une exception près (Une 21ième place scratch assortie d’une deuxième place dans la classe à l’île de France ou au terre de Beauce),n’a jamais franchi une ligne finale d’arrivée que ce soit en DS et en GS.
Ce qui est encore plus troublant ce sont les circonstances de ces abandons. Casse mécanique ou sortie de route, ils ont pratiquement tous eu lieu les dimanches entre 12 heures et 13 heures.