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Pilote sur Visa


La photo vous intéresse, contactez Citroën en compétition.

Prive Olivier

Principaux résultats

1983 :
Ronde sur glace de Serre-Chevalier : 6ème
Terre de Castines : 11ème, 7ème groupe B
1985 :
Terre de Castines :
Terre de Provence : 31ème, 21ème groupe, 6ème classe
Ronde de la rose :
Terre des Charentes : Abandon
Terre de Beauce : Abandon
1986 :
Ronde de la 1ère terre :
Terre de Provence : 50ème, 20ème groupe, 2ème classe
Terre de la Découverte : Abandon fourchette de boite
Terre de Castines : 35ème, 16ème groupe, 2ème classe
Terre de Charentes : Abandon Embrayage
Terre du Mantois : Abandon copilote malade
1987 :
Slalom poursuite sur terre de Monthléry : 15ème

Présentation

Avec un papa qui vous berce au bord des épreuves automobiles, il était envisageable qu’Olivier se tourne à son tour vers la compétition automobile. De fait, dès son permis en poche, Olivier va tenter une participation au rallye Tout-terrain de l’île de France. Pour s’engager avec son frère, il prend la première voiture venue, en l’occurrence une Innocenti de tomaso, qui ne connaîtra qu’une éphémère carrière.

Il rachète ensuite à un ami de la famille une Golf Gti avec laquelle il découvrira ses premières épreuves internationales le rallye de Monte Carlo et le rallye TAP Portugal. Début 1982, ce même ami se porte acquéreur d’une Visa trophée. Il ne s’y sent pas vraiment à l’aise et propose sa voiture à Olivier. Pas nécessairement tenté au départ, Olivier va tomber amoureux de la petite trophée qu’il va conserver plusieurs années. Il faut dire que par ailleurs, pour être totalement objectif, les tarifs défient toute concurrence.

En 1983 après le terre du Quercy, Olivier revend sa voiture pour partir à l’armée. Séparation de courte durée puisque dès son retour il rachète sa voiture. En 1984, une petite nouvelle est arrivée dans les parcs fermés, la visa 1000 pistes et ses quatres roues motrices. La petite visa trophée est dépassée. Pour autant Olivier ne cèdera pas aux sirènes de la 1000 pistes, préférant conserver sa petite deux roues motrices au coût d’entretien beaucoup plus raisonnable en raison des nombreuses pièces communes avec les mécaniques de la Peugeot 104 et de la Talbot Samba.

Jusqu’en 1986, Olivier va poursuivre l’aventure Visa avant de changer pour une petite lionne (205Gti), suivie par une grosse italienne (Lancia Delta intégrale) et terminera sa carrière au volant d’une Mitsubishi Lancer. Il cèdera ensuite le volant à la génération montante et assurera l’assistance pour passer le flambeau à son fils Thomas.