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Pilote sur Visa - GS


La photo vous intéresse, contactez Citroën en compétition.

Minassian Jean-Pierre

Principaux résultats

1984 sur GS
Slalom du team LADA : 10ème, 3ème groupe
Slalom de la Saint Louis :9ème, 5ème groupe
1997
Terre des Drailles : 42ème, 8ème classe
1998
Terre des Drailles : 38ème, 6ème classe
Terre de Provence : 57ème, 12ème groupe, 5ème classe
Terre de Vaucluse : 48ème, 4ème classe
1999
Terre de Provence : 55ème, 11ème groupe, 3ème classe
Terre des Cardabelles : 67ème, 7ème classe

Présentation

Dans la famille Minassian on pense plutôt à Richard et ses Citroën CX, BX et Xsara, mais il ne faudrait pas oublier que 7 ans après Richard, un petit Jean-Pierre était né et que lui aussi a gouté aux joies du sport automobile. Difficile de ne pas succomber au virus du sport automobile quand on passe ses week-ends à l’assistance ou à la préparation des autos.

En 1984, Jean-Pierre décide de se lancer à son tour dans le grand bain en préparant une GS à l’aide d’un simple kit MEP sur un bloc 1220 cm3 de base. Autre secret pour ne pas casser la voiture, des triangles avant renforcés et remplacés après chaque épreuve. Il débute modestement par des slaloms sur terre où la GS réalise des performances étonnante, allant même jusqu’à signer des temps devant les R5 Turbo. La GS fera également une sortie à la ronde sur terre du Griffon avant d’être revendue à Lucien Vidal.

Pour Jean-Pierre il s’ensuivra une longue pause sportive consacrée au travail et ce n’est qu’en 1997 qu’il reviendra sur terre avec une toute nouvelle Visa GTI. Pour lui donner quelques chevaux de plus, il greffe un bloc 2litres 16 soupapes de 170 chevaux et soigne sa préparation pour obtenir une voiture fiable. Pour cette reprise c’est son neveu qui va prendre la place du copilote et qui n’aura de cesse de motiver son pilote.

Jean-Pierre disputera une dizaine d’épreuves avant de raccrocher le casque et de revendre sa voiture à Jean-Marc Benoit. L’envie n’était plus là pour Jean-Pierre, qui en amoureux de belles voitures, ne supportait plus de les mettre à la torture sur des routes de terre. Un sentiment qui le différenciait de son frère qui réussissait à faire abstraction de tout dès qu’il enfilait son casque. Si aujourd’hui Jean-Pierre aime toujours rouler sur des belles voitures allemandes, il garde un souvenir ému de cette période où comme il dit – on en a bouffé des ronds, mais même si les fins de mois étaient dures on vivait bien-