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Pilote sur Visa


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Vial Jean-Louis

Principaux résultats

1994
Ronde nationale Montbrisonnaise : 73ème, 21 groupe, 2ème classe

Présentation

Quand on évoque Jean Louis Vial, on se retrouve en face d’un éternel passionné atteint tout petit du virus de l’automobile qu’il a décliné sous plusieurs formes tout au long de ses années. Il est parfois difficile de s’y retrouver dans son parcours car il a souvent possédé plusieurs voitures simultanément, mais ce qui est sûr c’est que ce mécanicien chevronné a toujours préparé lui-même ses voitures à quelques rares exceptions près.

L’aventure démarre en 1985 alors qu’il exerce es talents de mécanicien chez Fiat. Il s’oriente naturellement vers une Fiat Uno turbo à laquelle succèdera quelques temps plus tard une Fiat Ritmo 130TC. Un peu plus tard, sur la suggestion de son ami et coéquipier Gilles Royet, il se laissera tenter par une VW Golf GTi, seule voiture qu’il possède encore aujourd’hui et qui n’attend qu’une réfection moteur pour repartir vers de nouvelles expériences.

En 1994, un ami lui parle d’une Visa trophée qu’un certain Jean marc Fougerouse accepterait de louer. Une ancienne top groupe B super performante avec laquelle l’osmose sera immédiate puisque son unique participation à la ronde Montbrisonnaise 1994 se soldera par une deuxième place de classe. Revers de la médaille, la Visa est équipée de baquets sans mousse, ne dispose ni de la direction assistée, ni d’un freinage assisté et s’avère très physique à conduire. La voiture disputera encore une ou deux épreuves avec son propriétaire avant d’être revendue

Jean Louis va poursuivre dans un premier temps les rallyes au volant d’une Talbot Samba avant de ressortir brièvement sa Golf GTi du garage. En 1997, il va acquérir une R5 GT turbo avec laquelle il va courir de longues saisons. Malheureusement les reconnaissances, les rallyes sur le week-end, tout cela finit par peser lourd dans l’emploi du temps d’un père de famille et Jean Louis va se tourner vers les courses sur circuit au volant d’une R11 turbo ou les courses de Karting sur un circuit proche de chez lui désormais victime des nouvelles normes de bruit. S’il ne court plus aujourd’hui, on sent qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que Jean Louis se laisse tenter par l’aventure VHC, la Golf ne demande que ça.