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Pilote sur Visa


La photo vous intéresse, contactez Citroën en compétition.

Allier Pascal

Principaux résultats

1992
Rallye national Automne – La Rochelle : résultat non trouvé
1993
Rallye national Automne – La Rochelle : 75ème, 4ème classe
Rallye régional de Saint Porchaire : résultat non trouvé
Rallye régional marandais : Abandon
Rallye national d’Aunis : résultat non trouvé

Présentation

Au volant de sa R8, Pascal commence à vivre le sport automobile par procuration en suivant quelques-uns de ses camarades qui ont déjà commencé à courir. Il est passionné des sports motorisés mais les accidents de moto de ses proches vont l’orienter vers l’automobile et il ne tardera pas à succomber aux sirènes des rallyes.

En 1990, il cherche sa première monture pour se lancer dans le grand bain. Son choix se porte vers une Simca rallye 2 mise en vente dans une petite annonce locale et dont le prix cadre avec son budget. En plus c’est une traction arrière et ça lui rappellera la conduite de sa R8 de ses débuts de conducteur. Il la conservera deux ans mais ne pourra que constater que l’auto nécessite des investissements onéreux pour être dans le coup et l’échangera contre une Visa chrono.

Pascal fait partie de ceux qui aiment la ligne de la Visa, qui se distingue sur les parcs fermés des meutes des 205 ou samba. En fait de Visa chrono c’est une caisse arceautée dans laquelle a été greffé un moteur 1124cm3 dopé à 92 chevaux qui permet de concourir dans la petite classe du groupe F. La petite classe c’est l’assurance de belles bagarres entre Visa, Samba, A112 au volant d’une auto maniable mais dont la fiabilité des transmissions et boites de vitesse est souvent venu contrarier de bons résultats. Il la gardera 2 ans avant de s’en séparer et de cesser toute activité rallystique pendant 4 ans pour retrouver une situation financière stable.

Après avoir commencé à préparer une Peugeot 104 ZS, Pascal reviendra au rallye en 1997 avec une Talbot Samba qu’il conservera trois ans avant de vouloir évoluer vers une classe plus élevée. Il a le choix entre une Golf GTI et une Ford Sierre Cosworth. Les frais d’entretien l’orienteront vers l’allemande. Après une année de fiabilisation et un changement de caisse, il obtiendra enfin une voiture avec laquelle il peut viser la victoire de classe. Après 4 ans de bons et loyaux services la VW sera revendue et court encore aujourd’hui en VH en Espagne.

En 2004 il achète une Peugeot 106 groupe N. L’auto est fiable mais manque de puissance par rapport à celle qui l’a précédée. Du coup Pascal se tourne En 2006 vers une 205 rallye groupe A. Il ne terminera que peu d’épreuves avec cette voiture au moteur trop fragile. L’arrivée des nouvelles règlementations telles que le Hans, et l’augmentation des coûts associée le feront renoncer au sport automobile peu après. Aujourd’hui il a retrouvé la voiture de ses débuts, une R8 Major, et participe ici et là à quelques montées historiques.